Temps magnifique encore aujourd'hui!! Nous avons un programme ambitieux : faire la promenade des rapides, découvrir les fresques murales (il y en a 14 disséminées dans toute la ville), et, pourquoi pas, aller au Mont Orford...
Nous allons chercher les renseignements au ? qui signale l'office du tourisme, et de là, démarrons la balade sur un chemin de planches de près de 2kms, divisé en deux parties. Il longe la gorge de la rivière Magog jusqu'au belvédère Koatek.
On continue la partie basse du chemin, plus sombre et sauvage avec ses rapides et le paysage industriel de la centrale électrique.
Nous découvrons une partie de la ville qui a des rues comme à Plymouth, très montagnes russes.
En même temps, nous découvrons une galerie d'art à ciel ouvert. Créées au fil des 15 dernières années, chaque fresque dévoile un pan de l'histoire sherbrookoise, de l'arrivée des premiers habitants dans la région jusqu'à l'industrialisation de la ville. Tous les personnages représentés ont réellement existé.
Les moulins d'en haut : autrefois appelé "Upper Mills", cette fresque se veut un clin d'oeil aux entreprises ayant eu pignon sur rue en 1867
Coeur, Culture et Pédagogie : un impressionnant trompe-l'oeil qui se veut une allégorie de la cité du savoir, un univers littéraire dans lequel plus de cent auteurs de la région sont représentés.
100 ans au service des gens : an centre de la gorge Magog se dresse fièrement la centrale Frontenac, la plus vieille installation hydroélectrique encore en service au Québec. Cette fresque commémore le centenaire de la municipalisation de l'électricité à Sherbrooke.
Tradition et Prévention : depuis 1852, les policiers et les pompiers oeuvrent à la sécurité de la population sherbrookoise.
Nékitotegwak : la rencontre des rivières Magog et St François telle que la voyaient les Abénaquis. Nékitotegwak signifie "là où les rivières se rencontrent". Les premiers colonisateurs de Sherbrooke se sont insrallés là.
CHLT-TV, 50 ans à notre image : Télé7 fêtait ses 50 ans d'existence. La fresque met en scène 30 personnalités du monde culturel d'hier et d'aujourd'hui
Murale du bicentenaire de Sherbrooke 2002 : cherchez l'inrus!!!! C'est la première fresque qui a vu le jour. La scène se déroule comme si le temps s'était arrêté en un bel après-midi du 2 juin 1902.
Une petite peinture sauvage...
Dédicace toute particulière à mon dernier petit fils!!!
Le temps s'est un peu "rabernaudi" dans l'après-midi : nous décidons quand même d'aller faire un petit tour au Mont Orford, juste pour voir.
Pas vraiment d'insolites, si ce n'est ces jeunes lycéennes court vêtues, mais c'est l'unifrme, et ce zozo qui dansait dans la rue..